Projet HeadQuarters – Le point

Comme tu le sais, ça aura été compliqué pour faire lâcher à JeunePapaEpanouiOuPresque son appartement. Mais depuis que nous sommes lancés, on ne l’arrête plus ! Il épluche LeBonCoin et SeLoger.com, nous sommes en contact avec plein d’agences qui nous appellent régulièrement pour nous proposer des biens. Nous sommes devenus experts pour déceler les annonces pro déguisées des annonces de particuliers et surtout : nous parlons l’immobilier couramment .

« Maison de village » > pas de jardin

« Maison de charme » > ancienne non rénovée

« Maison atypique » > biscornue, non-euclidienne ou loin de tout (parfois les trois)

« Maison à personnaliser » > beaucoup de travaux

« Maison exceptionnelle » > invendue depuis plus de 8 mois

Et quand au milieu de tout ça tu trouves un bien qui répond à tous tes critères, il faut être un véritable requin. L’agent immobilier te propose ce week-end ? Tu insiste pour la voir aujourd’hui même dans l’espoir qu’il te propose demain midi en croisant les doigts pour que personne ne l’achète entre temps (oui, c’est totalement vécu, l’agent immobilier qui t’appelle en semaine pour annuler la visite du samedi parce qu’un compromis de vente a été signé entre temps, et toi tu te retrouves à pleurer toutes les larmes de ton corps, parce que c’était la maison parfaite).

Des maisons idéales, on en a repérées 4, visitées 2 et toutes manquées.

Deux sur quatre nous sont passées sous le nez avant même que nous puissions les visiter, comme expliquer plus haut. Pour les deux autres, l’erreur est venu de nous. Un peu trop sûrs que nous étions de vendre rapidement notre super appartement, nous avions commencé les visites dans le but ferme d’acheter. Nous avons ainsi visiter une maison de rêve avec jardin, un petit cours d’eau au fond du jardin, une bâtisse ancienne rénovée, dans un petit village loin de l’agitation de la ville mais pas trop loin de l’autoroute. Le seul bémol c’était qu’elle était un peu plus loin que le secteur où nous cherchions, mais nous l’aurions achetée sans hésiter s’il notre appartement avait été vendu.

La deuxième nous est passée sous le nez en direct. Pendant la visite avec l’agent, un couple, qui avait visité la maison, a appelé pour faire une offre. Ne pouvant faire de contre offre puisque nous n’avions pas encore vendu notre appartement, nous avons donc renoncé à finir la visite histoire de ne pas se dégouter encore un peu plus de l’avoir ratée.

Maintenant que l’appartement est vendu, c’est le calme plat. Nous ne trouvons pas chaussure à notre pied, et c’est très frustrant quand on repense aux maisons qu’on a ratées! Je me refuse pour le moment à regarder les annonces pour repartir en location car, intérieurement, j’espère je sais qu’on va bien finir par trouver! Les autres y arrivent, alors nous aussi! #motivation

Famille

Je participe à l’aventure rédactionnelle 1 photo 3 mots de Marionlecitron

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Courage Amour Maison 

Cette semaine, Crapouillou a avalé un corps étranger qui nous a valu un tour par les urgences qui s’est transformé en séjour à l’hôpital. Le corps étranger a du être retiré par endoscopie et après 24h à jeun pour vérifier qu’il n’y avait une perforation en plus des lésions, nous avons enchaîné 24h d’observation pour la reprise de l’alimentation et nous avons pu rentré à la maison, cet endroit qui fait qu’on se sent si bien parce que c’est là où nous nous retrouvons tous les trois pour s’aime, rire et grandir.

Dans cette épreuve, le plus courageux fut Crapouillou. Entre la douleur, la peur et la découverte de l’hôpital, il a été très patient. Ca n’a pas toujours été facile, car une infirmière des urgences n’était pas particulièrement bienveillante (mais dans l’ensemble, le personnel de l’Hôpital des enfants de Purpan a quand même été extraordinaire) mais Crapouillou a été fait preuve de beaucoup de courage. La vision de la porte du bloc opératoire se refermant sur mon fils apeuré ne me quittera jamais. Tout comme celle de son petit corps branché, câblé et tubé en salle de réveil…

Une chose aussi que je n’oublierai jamais c’est tout cet amour qui nous a aidé à traverser cette épreuve. Nous étions nous trois, comme si le monde autour n’existait pas, comme s’il n’y avait ni passé ni futur. Nous étions une famille, sans aucune influence extérieure. JeunePapa a même envoyé promener sa famille, leur disant même que nous ne voulions aucune visite.

Donc voilà, maison, courage, Amour pour cette première semaine de 2017 et une petite photo de ma main et celle de Crapouillou quand nous avons été autorisés à reprendre les tétées 🙂

 

 

Je me suis laissée bouffer

Bon voilà, en fin d’année j’écrivais un article sur le fait que j’essaierai de ne pas me laisser bouffer par le boulot.

J’ai tenu bon quoi ? 10 jours ? 15 jours maximum ? Et après le boulot s’est rattrapé et m’a avalée toute crue! Je n’ai pas fait faire d’heures supplémentaires à la nounou, mais je me suis épuisée. Je ne voulais pas que mon fils ait moins de temps que prévu avec sa mère à cause du travail, donc en journée j’ai doublé (voire triplé) ma productivité pour pouvoir partir à l’heure sans que ça me soit reproché.

Et ça a bien marché je dois l’avouer : non seulement on ne m’a rien reproché, mais on m’a en plus félicitée d’être aussi compétente en retour de congé maternité. On m’a même laissé comprendre qu’il se pourrait que je sois embauchée à durée indéterminée durant 2015.

Toujours le même temps passé avec mon Crapouillou, une embauche durable à la clé… Que du bon ?

© Jeune maman épanouie … ou presque!

© Jeune maman épanouie … ou presque!

Et bien non.

J’étais vraiment fatiguée, ça a mis en péril ma lactation et j’ai eu beaucoup de mal à maintenir une vie sociale digne de ce nom et à préparer les fêtes de fin d’année. J’ai du délaisser ce blog. Et je me couchais en même temps que mon fils (oui oui, à 19h30 au lit!). Papa Crapouille m’a réellement soutenue dans cette fin d’année et je crois même qu’il a apprécié que Crapouillou et moi nous couchions si tôt en fin de compte, comme ça il a pu avoir un peu de temps pour lui (qu’il n’avait pas encore eu depuis que Crapouillou est né, contrairement à moi qui avait réussi pendant mon congé maternité à me prendre quelques demi-journées rien que pour moi)

Qui dit nouvelle année, dit nouveau départ. L’enjeu d’une embauche durable ayant été évoquée, j’ai pris la décision de maintenir un travail soutenu à quelques conditions :
– ne pas rentrée épuisée à la maison : bien que Papa Crapouille ait apprécié ces quelques semaines où il pouvait cultiver son jardin secret le soir, nous étions contents quand ça s’est calmé
– ne pas faire en mi-temps ce qu’on demande à un temps plein : oui je sais, c’est eu peu bête, mais si j’abats le travail des collègues à temps plein en étant en mi-temps ça va tous nous pénaliser en fin de compte, donc je lève le pied!
– laisser le boulot au bureau : ça j’ai vraiment du mal! Je ramène beaucoup de travail à la maison et ça me prend pas mal de temps sur nos week-ends. Il faut vraiment que j’arrive à me discipliner et à ne travailler qu’au bureau
– travailler en équipe : je ne suis pas quelqu’un qui travaille beaucoup collectivement, j’ai toujours eu du mal avec la critique constructive que j’ai longtemps vécu comme une critique tout court, mais cette année, non seulement je l’accepte mais je vais la chercher! Or de question de perdre du temps en voulant me débrouiller seule alors qu’un-e collègue peut m’aider à résoudre mon soucis en 5 minutes.

Souhaitez moi bonne chance!

On fait le bilan de ces résolutions dans quelques mois ? 😉

Parce qu’être une jeune maman épanouie (ou presque!), c’est pouvoir jongler entre travail et vie de famille!